Un environnement de travail propice

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Dans une quête de sens de plus en plus profonde au travail, le collaborateur a besoin d’évoluer dans un environnement de travail sain et propice. Propice au travail, aux interactions, aux différentes activités que l’on fait…  

Vous pouvez donc considérer que vous évoluez dans un environnement agréable si vous avez : 

1. Un espace de travail adapté à vos activités

Votre espace de travail doit vous permettre d’exercer vos activités convenablement. L’aménagement de celui-ci doit pouvoir s’adapter aux usages, aux différentes activités, à l’exécution des différentes missions… par exemple, vous disposez d’une cabine téléphonique pour passer un appel au calme, une salle de réunion pour brainstormer en équipe, un espace de convivialité pour la pause-café… C’est ce que l’on appelle l’activity-based working (ABW), un aménagement des espaces en fonction des activités.

2. Un mobilier de bureau est ergonomique 

Parce que le travail de bureau est très sédentaire, il a des impacts sur nos corps. Les espaces de travail doivent donc tenir compte de ces effets en prenant soin du corps des collaborateurs, limitant l’impact. Les équipements ergonomiques se développent et permettent d’améliorer le confort des travailleurs.  

3. Des locaux vides le soir 

Un environnement de travail sain doit permettre un juste équilibre entre vie professionnelle et vie personnelle ; il est cloisonné et permet une déconnexion certaine.  

4. Des collègues et managers qui savent dire « merci » 

Les collaborateurs sont plus facilement enclins à l’anxiété, aux chutes de moral et la crise du Covid est venue renforcer ces troubles. L’environnement de travail doit donc permettre de prendre soin des uns et des autres. Cela commence par la reconnaissance : savoir dire merci. Un merci sincère, justifié et qui va droit au cœur. 

5. Un sentiment de considération  

Un « ça va ? » soufflé par réflexe au détour d’un couloir… de ceux lancés avec automatisme… La considération est importante. Le management doit permettre de venir soutenir et considérer le collaborateur quotidiennement. Le « servant leadership », en anglais, permet de prendre en compte l’état mental de la personne, sa fatigue, son moral et l’impact que tout cela peut avoir sur le travail du collaborateur. Nous avons tous nos jours orageux et nos jours de ciels bleus… Une météo intérieure qui a forcément un impact sur notre environnement extérieur. 

6. Un manager qui prend régulièrement la température 

Parlons météo intérieure… nous avons tous des jours orageux, de ciels bleus… Cette météo a forcément un impact sur notre environnement extérieur. Pour instaurer un environnement de travail propice à l’épanouissement, le manager doit interroger fréquemment ses collaborateurs sur leur météo intérieure, prendre le pouls, la température…  

7. Un manager qui sollicite votre avis 

Mettre en place des méthodes de travail qui permettent la participation des collaborateurs aux prises de décisions, c’est une démarche essentielle pour qu’ils se sentent impliqués et valorisés. C’est également une marque de confiance.  

8. La capacité de dire « Non »

Pour qu’un environnement de travail soit propice, il doit permettre au collaborateur de pouvoir s’exprimer librement. Vous devez pouvoir dire « non » et notamment à votre manager. Vous devez être libre de poser vos limites, d’être écouté et respecté. 

9. Le droit à l’erreur 

Alexandre Jost disait : ‘’l’erreur du collaborateur est la raison d’être du manager’’. Pas d’erreur, pas de manager. Contrairement aux idées reçues, l’erreur est saine, elle est humaine.  

Tous ces composants prouvent que votre météo au boulot est clémente. Vous travaillez dans un environnement sain. N’oubliez pas de garder un œil sur le climat car il peut changer à tout moment.

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